Grâce au foisonnement instrumental du jazz, Sweety Doo convoque notre mémoire collective pour parcourir en toute liberté l'imaginaire universel de l'art populaire, passant du standards de jazz au tube des années 80, de la berceuse au grunge, de la gravité à la fantaisie, jouant sur les sonorités des langues, anglais, portugais, ou français, au gré des paysages traversés.

La voix de la chanteuse de jazz Sabine wronka portée par les arrangements et la basse de Thomas Faye,  accompagnée par la batterie de Sébastien Dewaele et les improvisations à la guitare de Jean-Paul Carême, au piano de Jérôme Lelard, d’Anatole Zéphir ou de Thierry Derckel,  invite le spectateur à se glisser dans des espaces ouverts par les jeux sonores d'une formation en perpétuelle recherche de mouvement.

Ils pensent le jazz comme un puissant vecteur de liberté d'expression et d'écoute de l'autre, une musique dont l'histoire s'inscrit dans celle des combats pour la dignité humaine, la démocratie et les droits civiques.

Sweety Doo a joué en  premières parties de David Linx et de Claude Berthoumieux.